Parlons Brésil avec deux regards croisés, le 28 mai à Savenay

Julien Orain, à gauche, et Jean-Yves Martin,
une passion partagée autour d'un pays, le Brésil.
Un article de Ouest-France (18 mai 2016)

Leur trait d'union, c'est l'amour d'un pays, le Brésil. Julien Orain et Jean-Yves Martin, sont tous les deux intéressés par ce pays d'une manière différente. Dans le cadre des samedis du Gusto, ils proposent de partager leurs regards croisés, à l'heure de la crise économique et institutionnelle, et à l'approche des Jeux olympiques de Rio, le samedi 28 mai, à 20 h 30 au Gusto Caffe.

Julien Orain est tombé amoureux du Brésil il y a 10 ans, quand il l'a découvert dans le cadre de ses études en développement agricole. « Arrivé en terre inconnue, avec un papier sur lequel étaient écrits quelques mots en portugais, j'ai eu un déclic vis-à-vis de l'ampleur de l'Amazonie et les rencontres humaines très riches, raconte-il. De retour d'un quatrième séjour en Amazonie brésilienne auprès de peuples amérindiens, j'aimerais partager une petite partie de mes voyages et inviter à découvrir le projet d'association qui va être créée dans les semaines à venir en Loire et Sillon ».

Jean-Yves Martin, géographe, a entendu parler du Brésil, lui, lors de ses années lycée, avec un professeur d'histoire géographie. « Au début des années 80, une publication sur Le Brésil Autrement, a attiré mon attention. Dans les années 90, j'y suis allé plusieurs fois pour étudier la géographie. Par la suite, j'ai travaillé sur une thèse autour de l'identité et la territorialité dans le Nordeste, plus particulièrement autour du mouvement paysan qui lutte contre les inégalités foncières ».

La soirée sera riche car les personnes présentes pourront découvrir deux regards différents sur un pays. L'occasion pour Jean-Yves Martin de présenter également son nouveau livre sur le Brésil : Mobilisations populaires au Brésil 1985-2015.

Samedi 28 mai, à 20 h 30, Parlons brésil au Gusto Caffe, rue Hoche. Gratuit, réservation obligatoire, car nombre de places limité au 02 40 69 85 79.

L'article de Ouest France 18 mai 2016

Commentaires