Sous la direction du professeur István E. Markó, des
professionnels issus de différents domaines et disciplines se sont réunis dans
cet ouvrage pour justifier que le débat sur le climat doit être rouvert.
Chimistes, géologues, ingénieurs, journaliste, épistémologue - la plupart
belges - ils estiment qu’il n’est plus possible de se taire. Ils établissent avec cet objectif une synthèse des arguments qui réfutent
les thèses dominantes dans le domaine climatique.
Les 15 vérités qu’ils énumèrent portent successivement sur la véritable nature du GIEC (Groupement Intergouvernemental sur les évolutions du climat *), sur les limites de ses rapports "scientifiques" et sur les vraies raisons de l’impact orienté et unilatéral de ses thèses.
Sans que cela constitue pour autant une bible du
"climato-scepticisme", leur ouvrage constitue l’une des meilleures
approches de la question, visant à soulever la chape de l’interdiction
virulente de toute mise en cause du dogme "réchauffiste".
Trop ras-l'bol des "réchauffistes" pro-GIEC, je fais mon coming-out de "climato-sceptique". http://t.co/ImB0k3148I
— Jean-Yves Martin (@jymartin46) 12 Décembre 2014
I – Sur la nature du GIEC
- Le GIEC n’est pas un organisme scientifique. Sa composition, ses compétences et son fonctionnement attestent qu’il s’agit d’un organisme politique.
- Le GIEC entretient constamment une habile confusion des registres entre science et politique, clamant publiquement sa neutralité mais œuvrant activement pour l’adoption de mesures idéologiquement orientées.
- Le GIEC est au cœur d’une puissante coalition d’intérêts particuliers.
- Le GIEC refuse le débat scientifique argumenté avec des scientifiques opposés à ses thèses.
- Le GIEC dénigre, calomnie et entrave la liberté d’expression de ceux qui ne partagent pas ses thèses.
II – Sur les rapports « scientifiques » du GIEC
- Il n’est pas scientifiquement établi par les observations que les concentrations atmosphériques mondiales de dioxyde de carbone (CO2) aient fortement augmenté en conséquence des émissions de dioxyde de carbone fossiles depuis 1750.
- L’élévation de la température moyenne globale du demi-siècle passé n’est pas atypique par rapport aux 1300 dernières années.
- Le CO2 provenant des combustibles fossiles ne contribue pas, en tout cas pas significativement, à la hausse de température depuis le milieu du 20e siècle.
- La théorie du « changement climatique dû à l’homme » se base sur des modèles et simulations numériques avec tous les aléas, hypothèses et approximations que de tels modèles comportent. Les modèles sont une aide à l’analyse mais ne constituent en aucun cas une preuve scientifique.
- Les observations mettent en évidence d’autres facteurs majeurs (Soleil, courants océaniques, nuages, aérosols, etc.) dans l’évolution du climat, dont le GIEC ne tient pas ou pas suffisamment compte.
III - Sur la réception du rapport du GIEC
- Les thèses du GIEC ne font pas l’objet d’un consensus scientifique.
- La presse ne traite pas de la problématique du réchauffement climatique avec tout le recul critique, l’objectivité et l’impartialité qu’on est en droit d’attendre.
- Les organismes et sites officiels manquent à la mission d’information du citoyen.
- En raison de la popularité des thèses du GIEC, résultant de leur diffusion médiatique complaisante, les partis politiques avalisent les thèses du GIEC et ne contestent pas, sur le principe, la nécessité de réduire les émissions de CO2.
- Les milieux économiques et financiers ont été contraints de s’adapter aux politiques de lutte contre le changement climatique qui affectent durement leur productivité et leur compétitivité alors que d’aucuns ont réussi à se ménager des rentes de situation au détriment de leurs concurrents et des contribuables.
Avec en annexes :
-
Une lettre ouverte de 125 scientifiques à Ban Ki-Moon,
secrétaire général des Nations Unies.
-
Une liste de scientifiques désapprouvant la Thèse de l’origine
anthropique du Réchauffement climatique.
István E. Markó (Dir.), Climat : 15 vérités qui dérangent, Ed. Texquis, 2013,
270 pages, 25 €.
* Sur le GIEC, voir également : Drieu Godefridi , Le GIEC est mort : Vive la science !, Texquis.
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