Par Jean-Yves Martin (extraits)
Dans les années cinquante, André, un jeune Parisien se retrouve bientôt seul, suite à la disparition de sa mère. événement traumatique, qui inaugure un retour sur soi, et accélère brutalement le passage de l’adolescence à l’âge d’homme. Ce destin individuel s’inscrit ici dans le contexte historique de l’époque. Celui d’une guerre qui n’ose pas même dire son nom.
Des « événements » donc, qui touchent désormais de plus en plus directement la Métropole et sa capitale. Le périmètre de l’action se situe dans ce quartier très parisien délimité par la butte Montmartre, la rue Lepic, la place du Tertre, la place Blanche et celle de Clichy. Et, passé le pont Caulaincourt, l’autre quartier de la Goutte d’Or.
Avec, à la clé, une belle leçon de tolérance et d’humanisme.
Jean-Claude Lamatabois, "Route de la fin", Le temps de Cerises, 2011, 138 pages, 12 €
Dans les années cinquante, André, un jeune Parisien se retrouve bientôt seul, suite à la disparition de sa mère. événement traumatique, qui inaugure un retour sur soi, et accélère brutalement le passage de l’adolescence à l’âge d’homme. Ce destin individuel s’inscrit ici dans le contexte historique de l’époque. Celui d’une guerre qui n’ose pas même dire son nom.
Des « événements » donc, qui touchent désormais de plus en plus directement la Métropole et sa capitale. Le périmètre de l’action se situe dans ce quartier très parisien délimité par la butte Montmartre, la rue Lepic, la place du Tertre, la place Blanche et celle de Clichy. Et, passé le pont Caulaincourt, l’autre quartier de la Goutte d’Or.
Avec, à la clé, une belle leçon de tolérance et d’humanisme.
Jean-Claude Lamatabois, "Route de la fin", Le temps de Cerises, 2011, 138 pages, 12 €
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